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L’Institut diffuse une recommandation concernant la confidentialité de l’adresse des victimes de violences basées sur le genre, et plus spécifiquement les victimes de violences intrafamiliales, de harcèlement et de violences sexuelles.

Ces lacunes et recommandations résultent d’une concertation au sein d’un groupe d’experts comprenant notamment des acteurs du secteur de l’aide, de la thérapie des auteurs, de la police, de l’analyse ADN, de la justice, des organisations féminines et des ONG, mais aussi des avocats, des coordinateurs provinciaux, des chercheurs et des spécialistes du monde médical.

Depuis l’arrivée des technologies de l’information et de la communication, l’arsenal des auteur-e-s de violences entre (ex-)partenaires s’est considérablement élargi. Le logiciel de traque est l’un de leurs « nouveaux outils ». Malgré les possibilités inquiétantes qu’offrent ces logiciels de traque, le phénomène est relativement peu connu en Belgique. L’Institut livre son analyse de la problématique et des recommandations pour une meilleure prise en charge.

L’Institut a élaboré un avis sur la base d’une étude du service des sciences du comportement de la police fédérale (2016) et d’une mise à jour scientifique de cette étude par le Centre public de soins psychiatriques de Rekem (2021). Les deux études ont été commandées par l’Institut.

Le projet de PAN 2015-2019 relatif à la violence basée sur le genre formule plus de 20 propositions concrètes relatives à la lutte contre les mariages forcés et les mariages précoces.

Le 8 mars 2022, l’Institut a publié, avec d’autres organisations de défense des droits humains, un article d’opinion afin d’attirer l’attention sur la vulnérabilité spécifique des réfugié-e-s ukrainien-ne-s par rapport aux violences (sexuelles). En outre, l’Institut a rédigé un avis sur la nécessité de mettre en place des projets spécifiques pour soutenir les réfugie-é-s ukrainien-ne-s contre les violences (sexuelles).

Le GREVIO, dans un rapport d’évaluation sur la mise en œuvre de la Convention d’Istanbul (2020), a signalé à la Belgique son manque d’attention pour la violence à l’égard des femmes. Plus concrètement, le GREVIO souligne le manque d’attention pour le phénomène de la violence intrafamiliale et de la violence à l’égard des femmes durant les procédures de divorce, notamment dans le règlement du droit de garde et de visite et la médiation. Cette note vise à rassembler les problèmes actuels et à proposer des recommandations adéquates.

Afin d’améliorer la détection et la prise en charge des mariages forcés, l'Institut a élaboré en 2019 un « code de signalement des mariages forcés à l’usage des officiers de l’état civil ».

Suite à l’introduction de différentes modifications, reprises dans la circulaire ministérielle du 17 juillet 2013, la surveillance électronique permet de veiller à ce que toutes les peines de prison entre 6 mois et 3 ans puissent à nouveau également être exécutées.

L'objectif central de cette étude était d'exposer les divers facteurs et processus culturels et psychosociaux qui sont à l'origine de la violence liée à l'honneur et de formuler des propositions qui peuvent améliorer la politique et l'approche relatives à la violence liée à l'honneur en Belgique.

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